Guillaume SOUFFRANT
SOUFFRANT Guillaume
VAUX-SUR-SEINE, France
Mon entrée tardive dans le monde de la photographie s’est faite par des chemins de traverse. Outre les nombreux tâtonnements précédents, c’est en école de cinéma que j’ai découvert la richesse des images.
Sans jamais renoncer au son ni au mouvement, j’ai profité des progrès technologiques inhérents aux nouveaux boîtiers pour garder un pied dans les deux mondes. Pourtant, par opportunités professionnelles autant que par liberté d’utilisation, la photographie ou plutôt les photographies ont pris une place de plus en plus prépondérante dans mon univers.
Il n’existe en effet pas de limite aux domaines d’exploration de ce média, c’est l’un de ses attraits et le développement technologique constant élargit encore les possibilités. Cependant, bien qu’appréciable, ces avancées ont également engendré un vomissement perpétuel d’images prises de partout à la fois sans discernement, à commencer par les souvenirs de vacances… faisant de la photo de paysages une activité saturée donc risquée.
On peut cependant apprécier le défi consistant à s’extraire du flot ininterrompu, en parvenant à mêler sa propre sensibilité à une nature toujours changeante et offerte à qui accepte de prendre le temps de l’admirer.
Une activité charmante donc, voire méritoire et qui permet à tout le moins de quitter l’œilleton pour se laisser envelopper par l’environnement, tantôt grandiose, tantôt repoussant, tantôt brutal ou accueillant… laissant voir en lui toute la palette des sentiments humains qui ne peuvent laisser un artiste indifférent, fût-il un simple photographe.
Sans jamais renoncer au son ni au mouvement, j’ai profité des progrès technologiques inhérents aux nouveaux boîtiers pour garder un pied dans les deux mondes. Pourtant, par opportunités professionnelles autant que par liberté d’utilisation, la photographie ou plutôt les photographies ont pris une place de plus en plus prépondérante dans mon univers.
Il n’existe en effet pas de limite aux domaines d’exploration de ce média, c’est l’un de ses attraits et le développement technologique constant élargit encore les possibilités. Cependant, bien qu’appréciable, ces avancées ont également engendré un vomissement perpétuel d’images prises de partout à la fois sans discernement, à commencer par les souvenirs de vacances… faisant de la photo de paysages une activité saturée donc risquée.
On peut cependant apprécier le défi consistant à s’extraire du flot ininterrompu, en parvenant à mêler sa propre sensibilité à une nature toujours changeante et offerte à qui accepte de prendre le temps de l’admirer.
Une activité charmante donc, voire méritoire et qui permet à tout le moins de quitter l’œilleton pour se laisser envelopper par l’environnement, tantôt grandiose, tantôt repoussant, tantôt brutal ou accueillant… laissant voir en lui toute la palette des sentiments humains qui ne peuvent laisser un artiste indifférent, fût-il un simple photographe.
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