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Crédit: © Julien Hay
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L'UPP au Salon de la Photo 2024

10 octobre 2024 Action UPP en cours
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L'équipe de l'UPP sera présente lors de l'édition 2024 du  Salon de la Photo 

Le salon se tiendra du 10 au 13 octobre 2024  à la Grande Halle de la Villette dans le 19ème arrondissement de Paris.

Le Salon de la Photo réunit les plus grandes marques du monde de la photographie, fabricants de matériel photo, importateurs, mais aussi écoles et groupements professionnels. Il valorise la pratique de la photographie et le métier de photographe avec les "grandes rencontres" Retrouvez d'avantages d'informations sur le Salon de la Photo sur le site officiel

LE STAND DE L'UPP : 

On vous donne rendez-vous sur le stand de l'UPP durant ces 4 jours pour nous rencontrer, poser vos questions, échanger avec les membres du Conseil d'administration et les salariés et découvrir l'ensemble des publications de l'UPP dont la dernière édition des Cahiers de la Photographie.

- Horaires d’ouverture :  10h - 19h

- Emplacement : M1-2

Crédit photo : Julien HAY

VOS INVITATIONS POUR LE SALON  : 

Cette année L'UPP à la chance chance de pouvoir vous faire profiter d'un code promo pour l'édition 2024 du Salon de la Photo.

Code promo UPPW2024

Pour reserver vos billets c'est ici :  INVITATION UPP SALON 

ou scannez le QR code ci dessous :

 

Crédit photo : Arnaud Février

LE PROGRAMME DE L'UPP : 

Deux conférences : 

Jeudi 10 Octobre - 10h30 :
10 conseils aux photographes débutants.


Vous vous lancez dans le métier de photographe? Vous vous posez beaucoup de questions? Commandes, vente d’oeuvres, presse, statuts, fiscalité, comptabilité…?
L’UPP répondra à toute vos questions.

Intervenant : Patrick Djian, photographe 

Vendredi 11 octobre - 17h30 :

Le bon prix d’une photo à l'heure de l'IA

"Qu'est-ce qui fait le prix d'une Photo ? La Qualité ? Son sujet ? Le talent de celui qui la vend ou le désir de celui qui l'achète ?
Sandra Chenu Godefroy vous présentera ce qui constitue le prix et la valeur d'une photo, avec un 360 degrés du coût de production à la note d'auteur"


Intervenant : Sandra Chenu Godefroy,  photographe

 

Les conférences sont limitées à une cinquantaine de places non réservables, nous vous recommandons d'arriver en avance si vous voulez vous assurer votre place.

Crédit photo : Stéphanie de Roquefeuil

Une exposition : 

Le royaume de l’aube d'Erwan Floch

A propos de l'exposition : 

 

Cette série témoigne de l’un des derniers vestiges de la paysannerie pré-industrielle ayant perduré jusqu’à nos jours grâce à la détermination sans faille de Jean-Bernard, 77 ans, et Laurence, 62 ans. Ce couple sans enfant possède et exploite la ferme de Penprat.

Son existence même, et la beauté intemporelle qui s’en dégage, interrogent les dérives de notre société actuelle :

l’accélération du temps, la productivité à tout prix, l’exploitation de la nature jusqu’à sa perte, etc...

Ils vivent toujours aujourd’hui sur ces terres en quasi autarcie. Un potager, les poules et leurs œufs, le cochon – et quelques dons d’amis en complément,

tel ce pêcheur qui apporte parfois une araignée ou un barbet - offrent au quotidien des repas simples, savoureux, accompagnés d’un cidre maison.

Les quelques ventes – principalement les veaux, du beurre, du cidre – permettent de couvrir les dépenses nécessaires à l’achat de ce qu’ils

ne peuvent pas produire ou aux réparations qu’ils ne peuvent faire eux-mêmes. Le troc et l’entraide complètent l’ensemble.

A propos du photographe : 

 

Après des métiers divers dans la banque, le conseil et le milieu associatif, Erwan Floc’h travaille depuis dix ans comme photographe professionnel, autour du portrait et du documentaire, s’intéressant tout particulièrement aux questions de l’intime.

La photographie quitte alors le rôle de simple empreinte pour devenir un moyen d’acceptation et de construction, lui permettant d’être à plus présent à ce qui l’entoure. La photographie l’aide à calmer son intranquillité, liée à sa difficulté à se situer dans le monde, à définir les valeurs qui guideront ses choix - comme la définition d’une vie bonne -, à en peser leurs conséquences. En découle les questions sur sa liberté dans une société pleine d’injonctions, en accélération permanente, une idée chassant l’autre. Photographier l’inscrit dans un temps long indispensable pour saisir la complexité de tout sujet.

L’autre lui devient alors moins étranger et l’aide à construire ou à simplement accepter sa propre singularité.  




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